Personnage hors du commun pour ne pas dire magique, Alain GUILHOT est un architecte français spécialisé dans la lumière.
Ambassadeur infatigable de cette culture française, il sillonne le monde depuis 40 ans pour éclairer le patrimoine mondial d’hier et aujourd’hui.
Alain GUILHOT affiche plus de 3 000 réalisations à son actif, de Lyon à Shanghaï, de Cannes à Kuala Lumpur, de Paris à Saint-Petersbourg. Elle sont retracées dans une magnifique anthologie, “Light is Life” disponible à l‘Espace Médias Tech de l’Alliance Française.
Il est aujourd’hui à Chisinau pour accompagner la ville dans ses projets lumière, pour dessiner, avec l’appui de la municipalité, les premiers plans des futurs éclairages de la ville. L’homme est très motivé et enthousiaste. “Il y a des bâtiments magnifiques à Chisinau, le potentiel est énorme”. Il y voit aussi un chemin pour redonner de la “fierté” aux moldaves.
Le pape de la lumière, invité exceptionnel de l’Alliance Française de Moldavie
L’occasion est trop belle pour que l’Alliance Française de Moldavie n’accueille pas celui que l’on appelle le “pape de la lumière”.
Il sera ainsi présent pour une rencontre avec les francophones de Moldavie, vendredi 2 mars à 16 heures à l’Espace Médias Tech de l’Alliance Française à Chisinau.
Il présentera sa philosophie, sa vision de l’architecture-lumière et ses projets concrets, mais aussi ses rêves, pour la ville de Chisinau, mais aussi pour la Moldavie pays auquel il s’est attaché grâce à une rencontre avec Ion STEFANITA, Directeur de l’Agence de Restauration des Monuments de Moldavie. Depuis les rencontres se sont multipliées, avec simplicité toujours car le personnage est abordable, suscitant partout l’enthousiasme.
Pour la petite histoire
Pour la petite histoire, c’est en France, à Lyon, qu’Aliain GUILHOT a commencé, il y a plus de trente ans, à façonner une nouvelle tendance dans l’urbanisme : l’utilisation artistique de la lumière pour mettre en valeur le patrimoine architectural. Il a prouvé aux grandes cités de ce monde qu’une fois la nuit tombée, les bâtiments ont une seconde vie. Le choix des éclairages, leur emplacement sur la façade, rien n’est laissé au hasard. La démarche se veut avant tout poétique car, selon ses propres mots, la lumière doit se marier avec l’architecture pour faire exploser toute sa tendresse.
Une rencontre à ne pas manquer donc.
Entrée libre
Photographie : Céline VAUTEY